Les logos, c’est pénibles.
On a une idée de base… mais on n’est pas sûr, alors on en crayonne 5 autres complètement différentes, on en fait évoluer certaines, tout en gardant les versions d’origine, au cas où !
En 2 heures, on se retrouve avec 20ène de croquis et dérives en tout genre (dont un pendu), des ratures, des pages chiffonnées et des résidus de gomme partout sur la table.
Puis on se dit que l’idée de base était la meilleure…
(c’était pire pour le choix du nom L’orée des nuits)